. Mon étude consiste encore une fois à déterminer dans le Sahih de Boukhari si des hadiths contradictoires s’y trouvent. Ou bien qu’il y ait des contradictions dans les hadiths rapportés dans le Sahih de l’Imam alBoukhari. Nous avons évoqué exemples points sujets dans la première partie de cette étude. Ici nous allons mettre en lumière sujets et les développer plus amplement. À ce jour aucune étude n’a été faite concernant les contradictions qui se trouvent dans le Sahih de Boukhari mais aussi dans le Sahih de Muslim. Ces deux livres étant censés être à % authentiques ils ne devraient pas apparaître de contradictions. Or comme nous le vérifions cela n’est pas le cas. S’il y a des contradictions dans le Sahih de Boukhari et que l’on vient à le comparer aux es rapportés dans le Sahih de Muslim il est bien évident qu’il se trouvera d’autant plus de contradictions. Par ailleurs notre étude n’est pas encore portée sur la mise en relation avec le Coran. Néanmoins je peux vous affirmer qu’il y a de nombreuses contradictions entre les hadiths du Sahih de Boukhari et les versets du Coran. Quand je parle de contradictions il s’agit de toute évidence de contradictions ! Revenons ainsi sur notre étude qui consiste à déterminer les contradictions dans le Sahih de Boukhari et uniquement dans ce dernier.p uLe Premier Sujet L’Exilup Nous avons dans le Sahih de Boukhari deux es qui évoquent la question de la fornication et la peine complémentaire à savoir l’exil du fornicateur ou de la fornicatrice.p Tome hadith Zaid ben Khaled qu'Allah l'agrée a rapporté que l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue avait ordonné de donner cent coups de fouet à celui qui commettait la fornication sans être marié et de l'exiler durant une année.p Tome hadith Zaid ben Khaled alJohany dit ''J'ai entendu le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue donnant l'ordre d'infliger cent coups de fouet à celui qui commettait la fornication sans être marié et de le frapper d'exil durant une année.p p Le Prophète aurait donc prescrit deux peines concernant le coupable de fornication à savoir coups de fouet conformément au Coran et ce qu’on peut considérer comme une peine complémentaire l’exil d’un an. Nous apprenons ainsi dans ce e que le Prophète a appliqué la peine de la fornicatrice et du fornicateur conformément au Coran pour la première peine coups de fouet.p p right redالزَّانِيَةُ وَالزَّانِي فَاجْلِدُوا كُلَّ وَاحِدٍ مِّنْهُمَا مِائَةَ جَلْدَةٍ وَلَا تَأْخُذْكُم بِهِمَا رَأْفَةٌ فِي دِينِ اللَّهِ إِن كُنتُمْ تُؤْمِنُونَ بِاللَّهِ وَالْيَوْمِ الْآخِرِ وَلْيَشْهَدْ عَذَابَهُمَا طَائِفَةٌ مِّنَ الْمُؤْمِنِينَp right red redLa fornicatrice et le fornicateur fouettezles chacun de cent coups de fouet. Et ne soyez point pris de pitié pour eux dans l'exécution de la loi d'Allah si vous croyez en Allah et au Jour dernier. Et qu'un groupe de croyants assiste à leur punition. Sourate verset p Néanmoins nous apprenons aussi que le Prophète fit appliquer une peine qu’on ne trouve pas dans le Coran une sorte de peine complémentaire au Coran ou en tout cas un ajout dans législation à savoir l’exil d’une année. Notamment que le Prophète appliquait ces deux peines là coups de fouet et l’exil d’une année. Nous allons ainsi à présent voir le e qui suit qui me semble être une contradiction manifeste p Tome hadith Ibn Chihab dit Orwa ben azZobair m'a rapporté que redOmar ben alKhattab avait appliqué la peine d'exil et qu’ensuite elle n’a cessé d’être la Sonna règle.p À travers ce e nous apprenons que la peine de l’exil a été établie par Omar ben alKhattab et que depuis l’application de la peine d’exil par Omar ben alKhattab elle n’a cessé d’être la règle. Nous avons de toute évidence une contradiction. Puisque nous avons vu dans les deux es précédents que le Prophète ‘alayhi salat wa salam avait institué comme peine complémentaire pour l’individu coupable de fornication sans être mariée l’exil d’une année. Donc le Prophète a bien appliqué la peine de l’exil. Or on apprend comme vous le constatez d’après Ibn Chihab que c’est bien Omar ben alKhattab qui avait appliqué la peine d’exil et ensuite cela n’a cessé d’être la règle. Cependant si l’on apprend que le Prophète a bien fait appliquer la peine de l’exil dans les deux es cités cidessus c’est le Prophète qui a ajouté cette peine complémentaire et que cela fait partie de la Sonna du Prophète. Ainsi tous les croyants venant après lui se doivent de suivre ce que le Prophète a appliqué. Ce qui se doit d’être soulevé est notamment le fait que Omar ben alKhattab a appliqué la peine et que par la suite cela n’a cessé d’être la règle. Cela n’a cessé d’être la règle depuis Omar ben alKhattab. Sans lui elle n’a pas cessé d’être la règle donc elle n’était pas instituée. Elle fut la règle à partir du moment Omar ben alKhattab l’appliqua au point de l’instituer. Il y a ainsi deux possibilités Soit nous faisons face à une contradiction qui est que le Prophète l’a institué et non pas Omar ben alKhattab conformément aux deux es. Soit la nuance étant que le Prophète n’en a pas fait une institution et que Omar ben alKhattab l’a imposé comme étant une institution c’est à dire comme étant une peine complémentaire qui ne peut se détacher de la peine principale et que depuis cela fut la règle. Ainsi dans les deux cas nous faisons face à une situation extrêmement grave Soit c’est le Prophète qui l’a instituée soit c’est Omar qui l’a instituée Ce qui relève de la contradiction puisque soit c’est Omar soit c’est le Prophète. Et qu’au su de la compréhension générale on nous dit que c’est le Prophète qui l’a institué.li Soit le Prophète l’a appliquée mais cette peine n’a pas été appliquée systématiquement au point d’en faire une règle une institution c’est à dire qu’il jugeait selon un certain nombre de critères qui ne sont “forcément” mentionnés. Et ce n’est dès lors que Omar ben alKhattab fut au pouvoir qu’il appliqua la peine au point d’en faire une institution. Et cela par son application systématique. Par conséquent cela voudrait dire que la législation de la peine complémentaire de l’exil d’une année ne viendrait non pas du Coran non pas du Prophète mais bien de Omar ben alKhattab radhi Allah anhu ayant institué une peine complémentaire qui n’avait pas à instituer. D’ailleurs l’institution dans la religion ne peut provenir que du Coran et du Prophète en dehors de quoi nul ni personne ne peut instituer une loi une législation une règle dans le corps de l’Islam. Car cela aurait pour conséquence que cette loi soit annulée ! On ne peut déroger à la règle du Prophète si ce dernier l’a appliquée en laissant trace de son application dans son cone sa datation sa chronologie. Et ceci est clair. Ainsi dans les deux cas c’est très grave ! . Soit c’est une contradiction . Soit c’est un changement de la loi Voilà pour le premier sujet.p p uDeuxième sujet La prise de la Mecqueup Les es que je vais vous citer référence à l’entrée de la prise de la Mecque. Nous savons que lorsque les musulmans ont pris la Mecque aux Polythéistes nous savons tous que le Prophète est entré dans la Ka’ba les musulmans ont vidé jeté les idoles de la Ka’ba. Nous allons ainsi voir une contradiction irréfutable.p Tome hadith Ibn Omar rapporte ceci En arrivant à la Mecque le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue demanda Osman ben Talha qui vint lui ouvrir la porte de la Ka'ba et le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue et Bilal et Oussama ben Zaid et Osman ben Talha eurent été à l'intérieur on ferma la porte durant une heure puis ils sortirent. Ibn Omar dit Je me précipitai pour interroger Bilal qui m'a dit Atil prié dedans? Bilal dit Oui il a prié. Je dis Où exactement? Bilal dit Entre les deux colonnes. Ibn Omar dit Mais j'ai oublié de lui demander combien de rak'a avaitil fait. p Nous apprenons que Ibn ‘Omar interrogea Bilal lorsque le Prophète entra dans la Kaaba s’il avait prié dedans la Kaaba. Bilal lui répond de l’affirmatif. Ibn ‘Omar lui demande l’endroit de la prière et Bilal lui répond que le Prophète pria entre les deux colonnes. Mais Ibn Omar dit que cela ne lui est pas venu à l’esprit de lui demander combien de rakat avait fait le Prophète.p Tome hadith Abdullah ben Omar qu'Allah les agrée tous deux rapporte que l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue arriva le jour de la Fath Victoire sur sa monture du côté haut de La Mecque il y avait Osama ben Zaid monté en croup derrière lui il était accompagné de Bilal et de Osman ben Talha et ce dernier faisait partie des gardiens de la Ka'ba et il fit agenouiller sa chamelle dans la mosquée puis demanda à Osman d'apporter la clé de la Bait ka'ba et l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue y entra accompagné de Osama et de Bilal et de Osman ben Talha il y resta pendant une longue période de la journée puis sortit sur ce les gens se hâtèrent pour y entrer et Abdullah ben Omar était le premier à y entrer et il trouva Bilal debout derrière la porte il l'interrogea sur l'endroit où avait prié l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue Bilal de lui montrer Abdullah dit Mais j'ai oublié de lui demander combien de sajda rak'a il avait fait.p Nous avons la même histoire expliquée de manière plus complète.p Tome hadith Moudjahid dit On vint dire à Ibn Omar Voici l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue qui vient d'entrer dedans la Kaaba et ibn Omar dit Je me dirigeai pour voir le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue mais je le trouvai déjà sorti et je trouvai plutôt Bilal qui se tenait debout entre les deux portes et je l'interroge alors en lui disant Estce que le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue a prié dans la Ka'ba? Il dit Oui il fit deux rak'a entre les deux colonnes qui sont à gauche lorsque tu entres puis il sortit et pria directement en face de la Ka'ba en faisant deux rak'a.p Vous constaterez qu’il y a une contradiction évidente entre ce dernier e et les deux es qui le précèdent ! Pourquoi ? La situation étant qu’Ibn Omar vint voir Bilal pour l’interroger sur l’acte du Prophète dans la Kaaba à savoir s’il avait prié et l’endroit où il a prié. Bilal lui répond que le Prophète a prié dans la Kaaba et notamment entre les deux colonnes. Ce fait est identique dans les trois es cités cidessous. Or là où il y a contradiction étant que dans les deux es qui précèdent le dernier Abdullah ibn Omar ua oubliéu “de lui demander combien de sajda rakat le Prophète avait fait” alors que dans le dernier e uil n’est pas du tout question d’oubliu. En effet on lira dans le e Tome hadith que lorsque Abdullah ibn Omar interrogea Bilal sur l’acte du Prophète dans la Kaaba à savoir si oui ou non le Prophète a prié dans la Kaaba Bilal lui confirma de l’affirmative lui précisa que le Prophète pria entre les deux colonnes avec pour précision qui change la donne “il fit udeux rakat entre les deux colonnesu” et “le prophète sortit et pria directement en face de la Kaaba en faisant udeux rakatu”. Dans les trois es nous avons les mêmes faits qui se déroulent uavec une contradiction notableu Deux es qui mettent en évidence Abdullah ibn Omar comme ayant oublié de lui demander combien de rakat le Prophète avait fait. Dans l’autre e il met en évidence la même situation dans laquelle Abdullah ibn Omar n’aurait pu se poser la question sur le nombre de rakat qu’avait effectué le Prophète puisque de toute évidence Bilal lui indique le nombre de rakat que le Prophète avait effectué dans la Kaaba à savoir deux rakat. Ainsi deux es montrent que Ibn Omar a oublié de poser la question sur le nombre de rakat du Prophète dans la Kaaba déterminant ainsi que Ibn Omar ne sait pas le nombre de rakat que le Prophète a effectué. Et l’autre e montre que Bilal indique à Ibn Omar le nombre de rakat que le Prophète a effectué Deux rakat dedans la Kaaba. En conclusion de quoi ? Selon le troisième e Ibn Omar a connaissance du nombre de rakat que le Prophète a effectué tant à l'intérieur qu'à l’extérieur de la Kaaba. Enfin soit Abdullah ibn Omar a oublié de poser la question sur le nombre de rakat ce qui indique qu’il n’a pas connaissance du nombre de rakat. Soit Ibn Omar a connaissance du nombre de rakat ayant été informé de la part de Bilal du nombre de rakat que le Prophète eut effectué dans la Kaaba deux rakat et en dehors de la Kaaba deux rakat. Nous avons face à nous frères et soeurs deux situations identiques dans lesquelles se trouvent une contradiction manifeste Connaissance ou pas de Abdullah ibn Omar du nombre de rakat du Prophète dans la Kaaba. Soit Bilal a dit à Abdullah ibn Omar le nombre de rakat soit il ne lui a pas dit. Et en cela il y a contradiction. Pour finir car cela n’est pas terminé voilà ce que l’on peut lire p Tome hadith Ibn Abbas qu’Allah l’agrée rapporte que l’Envoyé d’Allah qu’Allah prie sur lui et le salue à son arrivée à La Mecque refusa d’entrer dans le Bait Kaaba tant que les idoles s’y trouvaient. Ainsi il donna l’ordre de faire sortir nous sortîmes les statuts d’Abraham et d’Ismaël qui tenaient dans les mains des fléchettes divinatoires et le Prophète qu’Allah prie sur lui et le salue dit “Par Allah ! Ils savent bien qu’Abraham et Ismaël n’avaient jamais consulté le sort au moyen de ces fléchettes.” Puis il entra ensuite dans le Bait Kaaba et prononça le takbir dans ses différents coins puis sortit sans y avoir prié”.p Ainsi on constate que le Prophète après avoir ordonné aux compagnons étant présent avec lui de faire sortir les statuts d’Abraham et d’Ismaël qui tenaient dans les mains des fléchettes entra ensuite dans la Kaaba et uprononça le takbir dans les différents coins de la Kaaba sans y prier.u Selon Ibn Abbas le Prophète n’a pas prié n’a pas effectué de rakat mais il a uniquement prononcé le takbir dans les différents coins de la Kaaba puis est sorti. Dans les deux premiers es que nous avons cités nous constatons que Abdullah ibn Omar apprend de la part de Bilal après lui avoir demandé si le Prophète avait prié dedans que ce dernier a prié entre les deux colonnes avec pour précision que Abdullah Ibn Omar a oublié de demander le nombre de rakats qu’aurait effectué le Prophète. Dans le troisième e nous avons Abdullah ibn Omar qui ne peut ne pas connaître le nombre de rakat effectué par le Prophète car Bilal lui précise dans ce e le nombre de rakat que le Prophète aurait effectué c’est à dire deux rakat. Puis nous apprenons dans ce quatrième e que le Prophète “prononça le takbir dans ses différents coins puis sortit sans y avoir prié”. En d’autres termes le Prophète n’a ni effectué de rakat ni de prière ni de prosternations mais a uniquement et simplement prononcé le takbir dans la Kaaba. Il y a ainsi parmi ces trois versions des contradictions manifestes . Soit Ibn Omar a oublié de demander à Bilal le nombre de rakat qu’avait effectué le Prophète et par conséquent Ibn Omar n’avait pas connaissance du nombre de rakat que le Prophète aurait effectué dans la Kaaba Ibn Omar dit Mais j'ai oublié de lui demander combien de rak'a avaitil fait. . Soit Ibn Omar a bien connaissance du nombre de rakat que le Prophète aurait effectué dans la Kaaba ayant été informé par Bilal que le Prophète “fit udeux rakat entre les deux colonnesu” et “le prophète sortit et pria directement en face de la Kaaba en faisant udeux rakatu”. . Soit et pour finir d’après Ibn Abbas le Prophète n’a pas prié dans la Kaaba mais prononça uniquement le takbir dedans la Kaaba puis sortit “prononça le takbir dans ses différents coins puis sortit sans y avoir prié” Ce sont des contradictions manifestes évidentes dont seule une personne de mauvaise foi peut les nier. Je poursuis.p p uTroisième Sujet Les prières nafila après la prière de ‘Asrup Ce sujet est particulièrement intéressant pour au moins un certain nombre de raisons. Des frères et des soeurs pensent que toute prière surérogatoire nafila après la prière de ‘Asr est interdite. Nous apprenons cela notamment dans le livre uLa voie du musulmanu et différents ouvrages qui traitent le sujet de la prière il est interdit de faire des prières surérogatoires nafila après la prière de ‘Asr. Voici les es et voilà les contradictions p Tome hadith Mou'awiya dit Vous êtes en train de faire la prière que nous n'avons jamais vu l'Envoyé d'Allah qu'Allah prie sur lui et le salue faire nous qui l'avons accompagné et il les avait interdites c'estàdire les deux rak'a faite après la prière du asr.p red Tome hadith Mou'awiya qu'Allah l'agrée dit Vous faites une prière que nous qui avons accompagné le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue nous ne l'avons pas vu faire et il interdit de les faire C'estàdire les deux rak'a faites après la prière du asr.p Peu importe que cela soit Mourawiya ou pas la question n’est pas là. Puisque certains vont sursauter de leur chaise ou de leur fauteuil en nous rétorquant que Mourawiya n’est pas fiable et qu’on ne peut prendre des hadiths de Mourawiya. A travers ces deux es et bien d’autres on nous a appris que le Prophète avait interdit de faire les deux prières surérogatoires après la prière du asr. Et beaucoup ne pas les prières surérogatoires après le asr. A présent nous allons prendre connaissance de la contradiction.p redTome hadith redAicha dit Par celui qui l'a rappelé à lui il n'a laissé ces deux rak'a qu'après avoir rejoint Allah et il n'a rejoint Allah le TrèsHaut qu'après que la prière lui était devenue pénible. Plusieurs de ses prières il les faisaient assis elle voulait dire les deux rak'a après la prière du asr et le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue ne les faisaient pas dans la mosquée et ce de crainte que cela ne soit pénible pour sa Nation il aimait tant leur alléger les choses.p red redTome hadith redAicha dit Ô fils de la sœur ! Le Prophète qu'Allah prie sur lui et le salue n'a jamais négligé d'accomplir chez moi les deux sajda rak'a après al asr.”p À travers ces es soit le Prophète a interdit de faire la prière de Asr ou bien le Prophète ne les a pas interdit et les a pratiqué. Ainsi cela rentre en contradiction avec les es qui ont été cités plus haut. Il y a une contradiction manifeste ! Manifeste ! Manifeste ! On se retrouve pour la suite dans une prochaine partie incha Allah.